« Beaucoup de votre souffrance a été par vous-mêmes choisi.
C’est le remède amer adopté par le médecin qui est en vous pour soigner votre moi malade.
Ayez foi en ce médecin et buvez son remède en silence, paisiblement : parce que sa main, fût-elle dure et pesante, est guidée par la main bienveillante de l’Invisible. » (K.Gibran)
« Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N’est-ce pas un sanglot de la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues
Terre terre voici ses rades inconnues » (Aragon)
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